Lima, abril del 2006.
La beauté.
L’idée que nous avions de la beauté a changé pendante les dernières années, pour les effets positives et négatives de la globalisation, pour la diffusion de la culture, et pour la lutte social des mouvement, surtout féministes.
Aujourd’hui, une idée courent est que « est beau ce que nous plait », et nous avons surmonté la dualité : « noir et rouge, beau et laid, pauvre et riche », qui restent toujours dans les manuels des psychiatres obsédants, mais pas dans nos vies. Nous explorons des nouvel chemins, qui nous portent á vivre une vie plus simple et plus pleine, sin penser á ce que nous devons faire selon la société, la famille, l’école et l’Eglise. On partant de ces principes de liberté, créativité, et pluralité, tout est possible : dans notre vie social et personnelle.
On parlant de notre corps : je suis maigre ou grasse, j’ai vente ans ou quarante, j’ai des rides ou ma peau est lisse, je suis blonde ou brune, rouge ou noir… Nos miroirs nous disent que il faut affronter dignement le temps qui passe, et le changement de notre corps et de notre vie intellectuelle et social.
Dans quelques pays développé, mais aujourd’hui dans les autres pays aussi, la société consommé, capitaliste et patriarcale a crée les maladies du siècles : « l’anorexie et la boulimie » qui affectent surtout les jeunes filles. Elle veulent fermer la grossire de ses corps, refus les repas, craintes grandir et affronter la dure et compétitive société des consomme. Le succès, la publicité, la séduction corporal… tout ça porte ses jeunes filles á maigrir tant, qu’elle ont besoin, plus tard, de recourir á des clinique spécialisés pour leur maladie, pour ne pas mourir de faim et d’ennui.
La publicité de la femme âgée qui montre orgueilleuse ses ride, á mon avis, c’est une manière jolie et drôle que nous avons pour affronter nos mirage, nos peurs, et pour braver avec dignité nos ans et notre vie.